Pour mon centième message, je vais inaugurer un topic (comme j'ai un peu la flemme, je le completerai probablement plus tard ^^) sur l'un de mes auteurs de BD préférés et l'une de ses créations les plus drôles.
Donjon est donc l'oeuvre de plusieurs auteurs (appartenant, je crois, tous à l'Association, pour ceux à qui ça dit quelque chose) dont notamment Lewis Trondheim.
Ce n'est pas tout à fait le Donjon de Naheulbeuck, mais ça peut y faire penser par son style parodique du genre. C'est divisé en trois parties :
- Potron-Minet qui raconte la création du Donjon (Blain, Trondheim, Sfar)
- Zénith qui raconte son apogée (Sfar, Trondheim et un ptit nouveau pour le dernier tome qui vient de sortir : Boulet)
- Crépuscule qui en relate la fin (Kerascoët, Sfar, Trondheim)
Avec des séries entre tout ça (ils ont pas mal dérivé ^^) : Donjon Monster, Donjon Parade et Donjon Bonus.
Personnellement, je ne connais que Donjon Zénith et Crépuscule. J'ai commencé par
Zénith, dont les dessins sont ceux de Trondheim (ça veut dire ronds et qui ne ressemblent pas à des gravures, comme ça peut arriver à ceux de Sfar, ce qui peut parfois faire bizarre). C'est franchement très marrant (quand on connait l'auteur, on n'est pas surpris ^^) et pour vous donner un aperçu (je pense que je m'étalerai plus là-dessus plus tard ^^), voici un petit lien (ok je l'avoue c'est de moi, j'ai fait ça il y a quelques temps... >_>) :
Test pour découvrir l'Homme de votre Vie ^^
(ça marche aussi pour les garçons qui voudrait connaitre l'Homme de leur Vie grâce à des questions subtiles) Crépuscule est plus sombre. Par l'histoire, évidemment, puisqu'il s'agit de la fin d'une époque... Les dessins font plus BD adulte aussi... (ce n'est plus Trondheim qui dessine ^^) On retrouve tout de même le même style de persos déjantés et de situations absurdes. ^^ Juste pour donner un exemple, voilà l'extrait qui figure sur la couverture du tome 4 "Le dojo du lagon" :
"A présent que j'ai vu mon géniteur, je vais devoir m'arracher les yeux.
- Je t'interdis de faire ce genre d'imbecillité, Baal. Je suis encore ta mère, tout de même.
- Bien. Je me les crèverai quand j'aurai atteint ma majorité.
- Et je suppose que c'est trop te demander que de faire la bise à ton père?"